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Disque dur avec une table de partition de type Mac

J’ai reçu un disque dur externe de marque LaCie contenant en fait un disque de marque Samsung.
Connecté au PC, il est reconnu sans problème mais impossible de le partitionner et de le formater en ext3 avec GParted. Toutes les tentatives se soldent pas une erreur.
Finalement, je décide de tester le disque sous Windows avant de décider qu’il est défectueux et là, pas de problème, j’arrive à partitionner le disque et à créer une partition NTFS de la taille du disque. Il ne semble donc pas que le disque soit défectueux. Reste à trouver pourquoi sous Ubuntu, je n’arrive pas à le partitionner.

De retour sous Ubuntu, le disque se monte correctement, je peux lire et écrire sur la partition NTFS créée sous Windows mais GParted ne la voit pas et je ne peux toujours pas la reformater.
Voici à quoi le disque ressemble vu de GParted:

Capture-Gparted

Bizarrement, on y voit une partition de 1ko qui correspond à la partition NTFS créée sous Windows et une grande zone non-partitionnée.

fdisk, en ligne de commande, a l’air, par contre, de voir cette partition NTFS correctement.

$ sudo fdisk -l

Disque /dev/sdc: 320.1 Go, 320072933376 octets
255 têtes, 63 secteurs/piste, 38913 cylindres
Unités = cylindres de 16065 * 512 = 8225280 octets
Identifiant de disque : 0x462afce5

Périphérique Amorce  Début        Fin      Blocs     Id  Système
/dev/sdc1               1       38913   312568641    7  HPFS/NTFS

En utilisant parted en ligne de commande, les partitions ont disparu. On en revient à ce que donne GParted ce qui n’est pas étonnant puisque ils sont tous les deux basés sur les mêmes librairies.

$ sudo parted -l

Modèle: SAMSUNG HM320II (scsi)
Disque /dev/sdc : 320GB
Taille des secteurs (logique/physique) : 512o/512o
Table de partitions : mac

Numéro  Début  Fin    Taille  Système de fichiers  Nom            Fanions
 1      512B   1535B  1024B                        partition map

Par contre, ce qui est intéressant ici, c’est l’indication du type de table de partitions. Le type est défini comme étant mac alors que normalement, c’est le type msdos qui est utilisé. Vu les différences entre ces deux types de table de partitions, il n’est pas étonnant que GParted affiche quelque chose d’incohérent.
Il ne reste donc qu’à modifier cette table de partition pour qu’elle corresponde au type que nous souhaitons. Pour cela, on va utiliser l’utilitaire ms-sys qui permet de réécrire un MBR valide sur un disque. Relisez mon billet sur le sujet et appelé Réinstaller le MBR Windows. Ce billet explique comment installer cet utilitaire. ms-sys permet de choisir entre plusieurs type de MBR Microsoft mais celui qui nous intéresse aujourd’hui est le type msdos.
Une fois installé, il suffit de taper dans un terminal la commande suivante (mon disque externe est /dev/sdc):

$ sudo ms-sys -m /dev/sdc

Et c’est tout. On peut voir directement que la partition NTFS est toujours là, que son contenu n’a pas été modifié. Et si on vérifie maintenant avec parted, on voit que la partition NTFS est reconnue sans problème.

$ sudo parted -l

Modèle: SAMSUNG HM320II (scsi)
Disque /dev/sdc : 320GB
Taille des secteurs (logique/physique) : 512o/512o
Table de partitions : msdos

Numéro  Début   Fin    Taille  Type     Système de fichiers  Fanions
 1      32,3kB  320GB  320GB   primary  ntfs

De même, GParted reconnaît maintenant la partition et me permet de la reformater en ext3, ce que je comptais faire au départ.

Quitter Firefox pour Chromium

Oui, j’ai quitté Firefox et installé Chromium.
Firefox plante un peu trop souvent à mon gout. Peut-être est-ce dû au packaging fait par Ubuntu et non pas à Firefox lui-même mais le résultat est identique. De plus, Firefox est devenu lent. Lent à charger et lent pour afficher les pages. Ajouter à cela des problèmes de scrolling dans des pages qui affichent beaucoup d’images ou de vidéos, des problèmes d’intégration du plugin flash et vous saurez pourquoi j’ai eu envie d’aller voir ailleurs.
Parmi les autres navigateurs libres que l’on trouve sous Linux, j’ai essayé Epiphany et Midori tout deux utilisant webkit comme moteur de rendu. Ils sont prometteurs mais loin d’être utilisables comme navigateur principal. Je me suis donc tourné vers Chromium qui lui bien qu’étant toujours en bêta est tout l’inverse. Un pur bonheur. Le plaisir de surfer retrouvé. Des pages qui s’affichent avec une fluidité que je ne croyais plus possible.

Chromium

Chromium est le projet open source sur lequel est basé Google Chrome et distribué en licence libre. Rappelons tout de même que Goggle Chrome est un logiciel propriétaire.
Comparé à Firefox, Chromium est d’une rapidité étonnante lors du chargement des pages. Là où Firefox met 2 minutes pour charger 30 pages simultanément, Chromium ne met que 45 secondes. Les performances du moteur Javascript sont aussi étonnantes d’après Benchmark V8.
Je l’utilise depuis une grosse semaine et je n’ai eu à souffrir aucun plantage ou freeze. Flash fonctionne parfaitement aussi. Un petit nombre d’extensions est déjà disponible pour Chromium et il supporte aussi le changement de thème à l’instar de Gmail par exemple.

On verra ce que donne la future version 3.6 de Firefox lorsqu’elle sera disponible mais d’ici là, Mozilla a intérêt à améliorer sérieusement les qualités de son navigateur s’il ne veut pas voir tout le monde adopter Chromium ou Google Chrome. Microsoft aussi devrait s’inquiéter. Signalons aussi que d’après Computer World, Goggle Chrome a dépassé Safari pour ce qui est du navigateur le plus utilisé sous Mac OS X et on comprendra que la machine Google est lancée et que tous les autres ont intérêt à se réveiller à temps s’il ne veulent pas perdre trop de parts de marché face à Google.

Pour installer Chromium sous Ubuntu, cela n’a rien de compliqué. Il existe un PPA (Personal Package Archives) qui reprend sous forme de paquets installables les nightly-builds de Chromium. Il suffit d’ajouter le PPA à la liste des dépôts utilisables par le système et il sera possible d’installer Chromium depuis Synaptic ou en ligne de commande aussi facilement que pour tout autre paquet. Remarquons quand même qu’il s’agit de nightly-builds et que donc il y aura sûrement de très nombreuses mises à jour.

$ sudo add-apt-repository ppa:chromium-daily
$ sudo aptitude update
$ sudo aptitude install chromium-browser chromium-browser-l10n

En ce qui concerne flash, il faut que le plugin flash soit installé:

$ sudo aptitude install flashplugin-nonfree

Si le plugin flash est déjà installé pour firefox, il suffit de le copier ou de faire un lien symbolique vers ce plugin:

$ sudo cp /usr/lib/flashplugin-installer/libflashplayer.so /usr/lib/chromium-browser/plugins

Les fichiers de configurations et les extensions installées se trouvent dans le répertoire ~/.config/chromium. La cache dans ~/.cache/chromium.

En conclusion, Chromium n’est encore qu’en version bêta mais est déjà utilisable comme navigateur principal sans problème. Il ne lui manque que quelques options et quelques extensions que j’utilisais avec Firefox mais au vu des qualités de ce navigateur, je suis sûr que les développeurs vont très vite se mettre au travail. Je ne peux donc que vous conseiller de l’essayer.

Installer Thunderbird 3

Depuis quelques jours, thunderbird 3 est sorti officiellement. Cette nouvelle version apporte son lot de nouveautés comme les onglets et une interface complètement remaniée.
La recherche améliorée est sensée vous aider à retrouver vos messages. La configuration de ce logiciel de messagerie a été revue aussi. L’IMAP est proposé par défaut et thunderbird tente de découvrir vos paramètres de configuration tout seul en lançant un assistant de création de compte. Thunderbird vous signalera aussi si vous avez oublié de joindre une pièce jointe à votre mail. Le carnet d’adresse a été revu en facilitant l’introduction de nouveaux contacts.
En conclusion, c’est un peu déroutant au départ mais on s’y fait assez vite. Par contre, thunderbird 3 est beaucoup plus lent au démarrage que ses prédécesseurs.

Thunderbird 3 n’est pas dans les dépôts officiels et il ne le sera pas sans doute avant la sortie d’ Ubuntu 10.04. Pour l’installer sous Ubuntu, rendez-vous sur le site de Mozilla et téléchargez la nouvelle version. Ensuite, il vous reste à décompresser l’archive dans le répertoire de votre choix et à créer un lien symbolique pour son lancement:

$ sudo tar -C /opt -xvf thunderbird-3.0.tar.bz2
$ sudo ln -s /opt/thunderbird/thunderbird /usr/local/bin/thunderbird

Si vous utilisiez déjà une version précédente de thunderbird, les fichiers contenant vos mails et vos préférences se trouvaient dans le répertoire ~/.mozilla-thunderbird. Thunderbird 3 utilise par contre le répertoire ~/.thunderbird. Je vous invite dès lors à copier le contenu de l’ancien répertoire dans le nouveau de façon à ne pas devoir refaire toute la configuration de thunderbird et à récupérer vos mails:

$ cp -R ~/.mozilla-thunderbird ~/.thunderbird/

Si vous n’avez jamais utilisé thunderbird, lancez-le et suivez les indications de l’assistant de création de compte. Il est sensé vous aider mais à mon avis, rien ne vaut une bonne configuration manuelle.

Google Public DNS

Le 3 décembre, Google a lancé publiquement sont nouveau service de DNS. Cette annonce a été faite sur son blog.

Qu’est-ce qu’un DNS?

Un DNS est un serveur qui a pour but de résoudre les noms, c’est à dire de traduire en adresse IP le nom de domaine qu’on lui fournit.
Google n’est pas le seul a offrir un tel service. Son concurrent le plus connu est sans doute OpenDNS.

Qu’est-ce que Google offre de plus qu’OpenDNS ou que le DNS de votre FAI et qui pourrait vous décider à changer?

Google vous promet de la vitesse, de la sécurité et de la validité. C’est à dire:

  • Google promet de donner des résultats exacts
  • Google permet de ne pas bloquer ou filtrer vos requêtes
  • Google promet de ne pas rediriger les requêtes des domaines inexistants

Ah bon? Parce que certains DNS ne donnent pas de résultats exacts?
Et oui, On en est là! je vous invite d’ailleurs à lire l’excellent article de Stéphane Bortzmeyer à ce sujet.

Comment installer ces serveurs?

Pour installer les serveurs DNS Google dans linux, il suffit d’éditer le fichier /etc/resolv.conf et d’y mettre:

$ gksudo gedit /etc/resolv.conf
# Dynamic resolv.conf(5) file for glibc resolver(3) generated by resolvconf(8)
#     DO NOT EDIT THIS FILE BY HAND -- YOUR CHANGES WILL BE OVERWRITTEN
nameserver 8.8.8.8
nameserver 8.8.4.4

Mais qu’est-ce qui a bien pu pousser Google a offrir un tel service?

Il faut d’abord remarquer que Google n’utilise pas Bind9 ou un autre programme open source. Le code de son serveur DNS est propriétaire et Google n’envisage pas de le publier.
Google promet de la vitesse dans les requêtes. Oui, mais on peut craindre que Google, s’étant lancé dans le Cloud Computing avec son propre OS dédié à cette tâche (Chrome OS), favorise surtout ses propres services.
De même, en enregistrant les requêtes que vous faites à son résolveur DNS, Google en apprendra beaucoup sur vous ce qui permettra de cibler encore plus ses inserts publicitaires.
Et oui, tout cela va dans le même sens. Google n’est pas une entreprise philanthropique. Si elle sort un nouveau service, c’est forcément parce que cela va lui rapporter quelque chose. Et ici, elle assure ses revenus publicitaires et son hégémonie dans le futur Cloud Computing.

Qu’est-ce qui pourrait vous inciter à adopter les DNS Google?

La seule raison que je vois à l’utilisation d’un DNS autre que celui de votre FAI, c’est dans le cas ou celui-ci serait particulièrement lent et/ou il vous donnerait des renseignements erronés ou changeants.
Pour tester la vitesse de réponse d’un DNS, il suffit d’utiliser le programme utilitaire dig.
Je vais ici comparer le serveur de mon FAI, celui de Google et celui d’OpenDNS:

$ dig leunen.com
; <<>> DiG 9.6.1-P1 <<>> leunen.com
;; global options: +cmd
;; Got answer:
;; ->>HEADER<<- opcode: QUERY, status: NOERROR, id: 61308
;; flags: qr rd ra; QUERY: 1, ANSWER: 1, AUTHORITY: 0, ADDITIONAL: 0

;; QUESTION SECTION:
;leunen.com.			IN	A

;; ANSWER SECTION:
leunen.com.		77953	IN	A	93.88.240.4

;; Query time: 12 msec
;; SERVER: 195.238.2.22#53(195.238.2.22)
;; WHEN: Sun Dec  6 16:57:01 2009
;; MSG SIZE  rcvd: 44

La ligne contenant ;; Query time: 12 msec nous donne le temps de réponse de la requête. ici 12 ms pour le DNS de mon FAI. Qu'en est-il pour Google et OpenDNS?

$ dig @8.8.8.8 leunen.com

;; Query time: 25 msec

$ dig @208.67.222.222 leunen.com

;; Query time: 17 msec

On voit évidemment que les deux DNS sont plus lents que celui de mon FAI, ce qui est assez logique et montre clairement qu'un simple critère de vitesse n'est pas valable dans le choix de laisser tomber le DNS de votre FAI. Google est même le plus lent des trois.

Souvent, je vois dans les forums d'Ubuntu-fr certains qui conseillent systématiquement d'utiliser OpenDNS. Avant de suivre ce genre de conseil, faites le test vous même. C'est facile. Et lisez aussi les articles sur le sujet de Stéphane Bortzmeyer:
OpenDNS, surtout pas!
Quel est le plus rapide serveur DNS d'un groupe ?
Le déploiement des résolveurs DNS menteurs
Vous verrez dans ces articles qu'openDNS n'est pas si recommandable que cela.
Et tant que vous y êtes, parcourez son blog, c'est très instructif. Stéphane est un spécialiste des protocoles Internet et vous en apprendrez plus que partout ailleurs.

Du son dans MuseScore

J’utilise l’éditeur de partitions MuseScore afin de faciliter l’étude du solfège pour ma fille. Le problème jusqu’à aujourd’hui, était que le son ne fonctionnait plus sous Ubuntu 9.10.
Heureusement, Jacques (jactib), membre de la mailing-list Ubuntu-fr, a pu donner une solution au problème. Je l’indique ici pour m’en souvenir et dans l’espoir que cela en aide d’autres que moi.

Il faut ouvrir les préférences de MuseScore, menu Edition/Préférences et choisir l’onglet E/S. Dans cet onglet, veillez à ce que soit coché Utiliser le synthétiseur interne et décoché Serveur audio Jack ainsi que Portaudio. Il ne doit rester coché que Alsa audio. Sous Alsa audio, remplacez dans le champ Périphérique la valeur Default par hw:0. Ensuite, cliquez sur Ok, fermez MuseScore puis relancez-le. Vous pouvez maintenant entendre vos partitions musicales jouées par votre PC.

Installation d’Ubuntu 9.10 sur un portable HP Elitebook 8530p

J’ai installé Ubuntu 9.10 sur un HP 8530p en dual boot avec Windows Vista. Pour cela, la partition originelle contenant Vista et qui occupait tout le disque a été coupée en deux pour faire de la place pour Unbuntu. Le redimensionnement de la partition a été fait avec l’utilitaire de gestion des disques de Windows. Ceci est très important. Si vous utilisez GParted pour le faire, vous aurez la mauvaise surprise de voir que Vista ne voudra plus démarrer. La seule solution est alors de restaurer Vista au moyen du CD d’installation.

Vista est installé sur sda1 et Ubuntu en sda2. Ce sont deux partitions primaires. J’ai aussi créé une partition étendue contenant la partition swap et la partition /home.

$ sudo fdisk -l

Disque /dev/sda: 250.1 Go, 250059350016 octets
255 têtes, 63 secteurs/piste, 30401 cylindres
Unités = cylindres de 16065 * 512 = 8225280 octets
Identifiant de disque : 0xa3682463

Périphérique Amorce  Début        Fin      Blocs     Id  Système
/dev/sda1               1       16379   131556348    7  HPFS/NTFS
/dev/sda2   *       16380       18246    14996677+  83  Linux
/dev/sda3           18247       30401    97635037+   5  Etendue
/dev/sda5           18247       18495     2000061   82  Linux swap / Solaris
/dev/sda6           18496       30401    95634913+  83  Linux

Remarquez aussi que j’ai bougé le flag de boot. La partition active est maintenant sda2 c’est à dire celle qui contient Ubuntu 9.10.

Lors de l’installation, il ne faut pas oublier de préciser à l’installeur d’installer Grub2 sur la partition où se trouve Ubuntu et de ne surtout pas aller s’installer dans le MBR, ce qui empêcherait une nouvelle fois Vista de démarrer. Pour ce faire, il faut cliquer sur le bouton Avancé Juste après la fenêtre Prêt à installer qui récapitule tous vos choix.

La carte graphique est une ATI Radeon Mobility 3650 et le son est fourni par un chip intel de la famille ICH9.
Le second device audio est en fait la sortie HDMI du portable. Non testé.

$ lspci | grep VGA
01:00.0 VGA compatible controller: ATI Technologies Inc Mobility Radeon HD 3650
$ lspci | grep Audio
00:1b.0 Audio device: Intel Corporation 82801I (ICH9 Family) HD Audio Controller (rev 03)
01:00.1 Audio device: ATI Technologies Inc RV635 Audio device [Radeon HD 3600 Series]

Le driver vidéo installé par ubuntu est le driver libre qui n’a aucune fonction 3D. Il est cependant aisé d’installer le driver fourni par AMD pour cette carte. Il faut le télécharger à cette adresse. Au moment de l’installation, il s’agissait de la version 9.10 du driver ATI Catalyst.
Le driver s’installe sans problème mais au redémarrage…écran noir. après une petite recherche sur Internet, il apparaît qu’il faut taper ces deux commandes:

$ sudo aticonfig --initial -f
$ sudo aticonfig --acpi-service=off

Dans mon cas, ces deux commandes ont été tapées en mode recovery puisque je ne pouvais plus me logger sur le PC.

En ce qui concerne le son, celui-ci fonctionnait impeccablement dès la fin de l’installation d’Ubuntu mais dans les écouteurs uniquement. Pas de son dans les haut-parleurs du PC. Là aussi, il a suffit de rajouter la ligne ci-dessous au fichier /etc/modprobe.d/alsa-base.conf:

options snd-hda-intel model=mobile

Ensuite on relance alsa:

$ sudo /etc/init.d/alsa-utils restart

et on peut maintenant jouir du son sur les haut-parleurs du portable.

Le reste, la webcam, le wifi et l’hibernation ont fonctionné du premier coup. Le seul élément qui n’est pas reconnu est le lecteur d’empreinte:

$ lsusb
Bus 004 Device 002: ID 08ff:2810 AuthenTec, Inc. 

Il s’agit pourtant d’une marque connue mais ce modèle n’est pas dans ceux reconnus par fprint et fprint-demo.

Après une semaine d’Ubuntu 9.10 sur ce portable, pas de problème particulier à signaler si ce n’est peut-être une certaine instabilité du driver vidéo.