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Niveau de réception et d’émission d’un modem câble

Il y a quelques mois, je suis passé d’un abonnement Internet Belgacom à un abonnement Voo. Pour les non-belges, Belgacom est un opérateur téléphonique fournissant des abonnement ADSL et Voo est un opérateur câble. J’ai fait le changement pour la simple raison que Belgacom ne pouvait me fournir une connexion VDSL nécessaire pour la réception de programmes TV HD. La seule solution qui me restait était de passer chez son concurrent câble.
Mon propos n’est pas de discuter des avantages de l’un ou de l’autre. Je voudrais juste profiter du fait que Voo, via son modem câble, me donne accès aux niveaux d’émission et réception sur le câble. Ce niveau, exprimé en dBmV, donne une idée très précise de la qualité du signal.

Modem câble Voo-interface web
Le modem fourni par Voo est un Scientific Atlanta (Cisco) EPC2203. Il est accessible via son interface web à l’adresse 192.168.100.1.
Pas grand chose d’intéressant sur cette page si ce n’est le Receive Power Level et le Transmit Power Level qui nous intéressent ici. Il faut noter aussi que les autres onglets ne sont pas accessibles et que l’onglet Advanced demande un mot de passe qui, bien évidemment, n’est pas fourni par Voo. Cet onglet donne évidemment accès à toutes les configurations du modem faites par Voo. Le risque d’erreur en les manipulant est élevé; je peux donc comprendre que Voo ne soit pas très chaud avec l’idée que l’utilisateur y ait accès. Néanmoins, j’ai payé mon modem à un prix qui me semble quand même assez élevé et, quelque part, ça me gène de ne pas avoir accès à tous les réglages d’un modem qui m’appartient. Donc, si parmi vous, quelqu’un connait le mot de passe et le login, cela m’intéresse.

Comme je l’ai dit, mon propos ici n’est pas de cracker l’interface web mais de récupérer les niveaux d’émission et de réception. J’ai contacté Voo pour connaître les niveaux de réception « normaux » et qui garantissent une bonne connexion Internet. D’après eux, en réception, le niveau doit être compris entre -15 dBmV et +15 dBmV. En émission, le niveau doit toujours être proche de 40 dBmV.
En ce qui concerne l’émission, il n’y a pas de problème. Le niveau ne varie pas ou très peu (une fraction de dB).
Pour ce qui est du niveau de réception, il en est tout autrement. En cinq mois d’utilisation, j’ai pu remarquer que le niveau varie tout de même très fort. Dans mon cas, il varie de -5 dBmV à +10 dBmV. Je reste donc dans les limites normales de réception.
J’ai fait l’essai en intercalant entre le câble d’entrée du modem un atténuateur de 10 db et je peux attester que lorsque le niveau tombe au alentours de -15 dBmV, on perd la connexion Internet.
Le niveau de réception dépend en fait de plusieurs facteurs dont la distance entre le dernier ampli et votre modem, autrement dit la longueur du câble entre cet ampli et le modem. Cette longueur de câble induit une perte qui est normalement constante et vaut x dBmV/m. Je m’explique assez mal les fluctuations de +/- 10 dB que je remarque. Le niveau change quand il y a des travaux sur la ligne mais aussi sans raison apparente.

Dans mon cas, j’affiche ces deux paramètres parmi ceux affichés par conky sur mon bureau. J’ai donc en permanence un oeil sur ceux-ci. Mais vous pouvez très bien ne les afficher que dans un terminal, à la demande.
Il me faut donc aller les rechercher dans la page affichée par l’interface web du modem. Pour cela, deux petites lignes utilisant curl et awk sont nécessaires. Si curl n’est pas installé chez vous, il va falloir d’abord le faire:

$ sudo aptitude install curl

Ensuite pour afficher le niveau d’émission, une simple commande suffit:

$ curl --silent http://192.168.100.1/system.asp | grep dBmV | tail -1 | awk '{print substr($0,49,9)}'

et pour le niveau de réception:

$ curl --silent http://192.168.100.1/system.asp | grep -m 1 dBmV | awk '{print substr($0,49,9)}'

Rien de bien compliqué. Allez voir les man pages de curl et awk pour comprendre ces deux lignes. Il y a d’ailleurs sûrement moyen de faire plus simple.

Customiser Unity

Unity n’a pas été conçu avec l’idée de le rendre customisable par l’utilisateur. C’était une volonté de Canonical bien établie depuis le début . Il faudra voir dans l’avenir si, sous la pression des utilisateurs, cela ne changera pas. Mark Shuttleworth a laissé entendre dans son interview par le site OMG!Ubuntu! que cela pourrait changer dans les versions suivantes.

Pour agir sur la configuration d’Unity, il va vous falloir d’abord installer quelques outils puisque nativement, Ubuntu 11.04 en est dépourvu. Rien de bien compliqué. Ouvrez un terminal et tapez la ligne suivante qui installera dcon-tools et ccsm (CompizConfig-Settings-Manager):

$ sudo aptitude install compizconfig-settings-manager dconf-tools

Les dconf-tools installent un gestionnaire de configuration semblable au gestionnaire de configuration de Gnome. Vous y trouverez quelques réglages possibles dans la clef /desktop/unity.
Mais l’outil le plus intéressant est sans doute le CompizConfig-Settings-Manager plus connu sous son petit nom ccsm même si ses possibilités de modifications sont faibles.
Une fois installé, vous avez accès à ccsm soit en le cherchant dans le dash soit via le Réglages du système qui apparait dans le menu Eteindre du panel du haut.
Une fenêtre s’ouvre appelée Centre de contrôle. Dans celle-ci, dans la rubrique Personnel, vous devez trouvez le Gestionnaire de configuration CompizConfig. Ce dernier ouvre une autre fenêtre dans laquelle vous devez trouver le Ubuntu Unity Plugin via lequel quelques paramètres peuvent être modifiés.
Je vous propose d’ailleurs de modifier un des paramètres pour supprimer le background sous les boutons du Launcher (dock de gauche). C’est à mon sens plus esthétique. Voici une image style avant/après question d’illustrer la différence.

Launcher Background

Pour obtenir cela, dans le Ubuntu Unity Plugin, cliquez sur l’onglet Experimental et modifiez le Backlight Mode pour le mettre en Backlight Always Off. Pour revenir au mode normal remplacez par Backlight Always On.
Si le changement n’a pas lieu directement, ouvrez un terminal et tapez ceci:

$ unity --replace

Il y a d’autres modifications possibles soit via ccsm soit en modifiant directement les fichier de configuration de Unity. Je ne vais pas les ré-expliquer ici, tout ceci ayant déjà été expliqué en long et en large sur de nombreux blogs et sites. Je vous donne néanmoins une liste de sites sur lesquels vous pourrez glaner les infos nécessaires :

La liste n’est pas exhaustive mais donne une idée des possibilités de customisation d’Unity. Espérons que de nouvelles possibilités apparaissent dans l’avenir parce que vous vous rendrez vite compte que celles-ci ne sont pas légions actuellement.

Unity: premières impressions

Il y a dix jours sortait officiellement la nouvelle version d’Ubuntu, la première utilisant Unity. On en a déjà parlé abondamment mais je tenais à donner ici mon point de vue.
Je ne suis pas opposé au changement quand c’est pour aller vers un mieux. De même, je suis conscient qu’il ne s’agit que de la première version d’Unity et que les améliorations seront probablement nombreuses dans les versions qui suivront. Il n’empêche que cette version-ci est loin d’être achevée et n’aurait pas dû, à mon sens, être déjà distribuée.

Ceci étant dit, voici en vrac mes observations:

  • Esthétiquement, ce n’est pas très réussi. Le dock de gauche (launcher) est trop agressif avec ses couleurs sous les icônes et la taille de celles-ci.
  • Impossibilité de modifier nativement le launcher sans installer des outils externes à la distribution.
  • Le menu global, c’est à dire le menu des applications reporté dans le tableau de bord du haut (panel) est une aberration et n’apporte rien. Lorsque vous avez un écran de taille importante, vous ne travaillez pas avec toutes les fenêtres maximisées. Si votre fenêtre se trouve en bas à droite, vous devez traverser tout l’écran pour avoir accès au menu en haut à gauche.
  • Toutes les applications ne sont pas encore bien intégrées à Unity. La barre de menu est parfois globale parfois pas (exemple Chromium). Pour thunderbird, la disparition de la barre de menu entraine une barre de fenêtre deux fois plus grande.
  • Impossibilité d’ajouter des applets Gnome dans le panel du haut.
  • La nouvelle overlay scrollbar (ascenseur) de fenêtre apparaît dans certains cas et pas dans d’autre. Par exemple, elle n’est pas présente dans le dash ce qui est un comble esthétiquement.
  • Parlons du dash justement. Il apparaît lorsqu’on clique sur le sigle Ubuntu en haut à gauche. C’est aussi la fenêtre qui apparaît losqu’on clique sur les icônes Applications et Fichiers et dossiers du launcher. Le dash est, à mon avis, beaucoup trop grand. Les icônes qu’il contient sont énormes. De plus, il m’importe peu d’avoir les applications disponibles au téléchargement.
  • Essayez d’accéder à une application rapidement! Il faut ouvrir le dash en cliquant sur Applications dans le launcher, si l’application voulue n’apparaît pas dans Les plus utilisées ou dans les applications Installées, vous devez soit tapez son nom dans le zone de texte Recherche soit cliquez sur le lien affichant toutes les applications. Comparez cela à l’ancien menu, il n’y a pas photo en terme d’accessibilité.
  • Lorsque le menu d’une application se trouve dans le panel du haut (menu global), le menu qui s’y trouvait par défaut en l’absence d’application ouverte, est inaccessible. Essayez du coup d’avoir accès au réseau, partages Samba, raccourcis ou de simplement vouloir créer un nouveau dossier sur le bureau. De même si vous utilisez les Screenlets, ce menu ne sera plus jamais accessible.
  • Le dernier point que je soulèverais est l’instabilité d’Unity. J’ai un PC sur lequel Unity se plante régulièrement. En cause Unity ou Compiz, je ne sais pas. Toujours est-il que cela n’arrivait pas avec Ubuntu 10.10.

Tous les points relevés ci-dessus font que je ne suis pas très satisfait de cette version. Ajoutons que je n’ai jamais été très satisfait non plus de la place de plus en plus importante que prennent les applications écrites en Mono dans ubuntu. J’aimerais que Canonical m’impose un peu moins les applications à utiliser.
Frustré, j’ai déjà failli plusieurs fois tout supprimer et installer une Debian Wheezy à la place. J’ai néanmoins décidé d’attendre encore un peu et de voir si l’idée de la création d’une Rolling Release de Debian se concrétise avant de quitter Ubuntu. Demain débute l’UDS (Ubuntu Developper Summit) qui donnera les grands lignes de ce que sera la prochaine version d’Ubuntu. Attendons la fin du sommet.

Installer Rockbox sur un Sansa e280

J’ai récemment re-rippé ma collection de CD en flac. Or cela me pose quelques problèmes lorsque je veux transférer un album sur mon lecteur mp3 car celui-ci ne supporte pas le flac. Cela m’oblige à réencoder les morceaux au format mp3 chaque fois que je veux les transférer sur mon lecteur. Je suis bloqué au format mp3 parce que mon lecteur ne supporte pas non plus le format ogg.
Pour toutes ces raisons, je recherchais un lecteur qui me convienne mieux mais comme mon vieux Sandisk e280, dont j’ai déjà parlé ici, fonctionne toujours très bien, j’ai d’abord été voir sur le site de Sandisk s’il n’y avait pas de nouvelle version du firmware compatible flac et/ou ogg. Mais non, rien de neuf. J’ai alors décidé d’utiliser une autre solution: l’installation d’un firmware open source. Oui oui, ça existe et ça s’appelle Rockbox.

Qu’est-ce que Rockbox ?

Rockbox est un firmware open source disponible pour plusieurs lecteurs. Un firmware est un microcode qui tourne dans votre lecteur et qui vous permet de vous en servir. C’est l’Operating System de votre lecteur en quelques sortes.

Dans le cas du Sansa e280, outre le support du flac et du ogg, Rockbox apporte aussi d’autres petits plus comme la possibilité d’utiliser différents thèmes, des jeux et des possibilités de configuration du lecteurs plus importantes que ce qui est disponible dans le firmware d’origine de Sandisk.
Autre point important, Rockbox s’installe à côté du firmware d’origine. A tout moment vous pouvez redémarrer sur le firmware d’origine.

Rockbox est disponible entre autre pour les marques suivantes:

  • Apple
  • Archos
  • Cowon
  • iriver
  • SanDisk
  • etc…

Pour la liste complète et les modèles concernés dans chaque marque, consultez le site de Rockbox ici.

Installation de Rockbox

Pour Installer Rockbox, rien de plus simple. Il suffit de se rendre à cette adresse et de télécharger l’installeur. Cet installeur est un exécutable disponible pour Linux mais aussi pour Windows ou Mac OS X.

Avant de lancer Rockbox, vérifiez quel est le firmware actuel de votre lecteur dans le menu Settings/Info. Ce renseignements est nécessaire pour la configuration de Rockbox. Dans mon cas, il s’agissait de la version 03.01.16f qui correspond en fait à la version 2 du firmware.
Je vous invite aussi à lire les informations présentes sur le site de Rockbox dans le WIKI et la FAQ, concernant votre lecteur, aux adresses suivantes:

http://www.rockbox.org/wiki/WebHome
http://www.rockbox.org/wiki/RockboxFAQ

Le manuel concernant le Sansa e280 V2 se trouve et comporte un chapitre Installation à lire avant de démarrer.

Configuration de RockboxLorsque vous lancez l’installeur, la première chose qu’il vous demandera sera de le configurer. C’est à dire de déterminer sur quel lecteur vous voulez installer Rockbox. Deux cas de figure, soit il arrive à le déterminer lui-même et tout va bien, soit vous devrez le lui dire vous même et là, pas de panique, ça se limite à sélectionner le modèle dans la liste.
Les autres réglages contenus dans les onglets concernent le réseau et divers autres renseignements que vous pouvez dans la majorité des cas laisser à leurs valeurs par défaut. Votre PC doit par contre être relié à Internet pour permettre à l’installeur de télécharger les éléments à installer sur votre lecteur. Si vous êtes derrière un proxy, renseignez-le dans l’onglet Proxy.

Installeur RockboxUne fois configuré, vous retombez sur la page principale de l’installeur et ses onglets. L’onglet Installation vous permet d’installer tous les éléments manuellement. L’onglet Démarrage rapide permet l’installation de tout, firmware, polices, thèmes et jeux en un seul clic. L’onglet Extras permet d’installer des thèmes, des polices de caractères et des jeux supplémentaires. Les autres onglets parlent d’eux-même. Notez tout de même la présence d’un onglet Désinstallation au cas où vous voudriez supprimez Rockbox de votre lecteur.

La première fois que vous utilisez l’installeur, je vous suggère de choisir l’onglet Démarrage rapide et de cliquez sur le bouton Installation complète. N’utilisez les autres possibilités que pour rajouter des thèmes par exemple.
Lorsque vous aurez cliqué sur le bouton, une fenêtre de progression s’ouvrira et Rockbox vous indiquera si chaque étape de l’installation s’est déroulée correctement. Rockbox vous demandera aussi de lui fournir le firmware original de votre lecteur prétextant ne pas pouvoir le télécharger lui-même pour des raisons légales. Rassurez-vous, il vous indique où le trouver et le télécharger. Dans mon cas, le firmware est facilement trouvable sur le site de Sandisk. Il se présente sous la forme d’un fichier zippé. Dézippé-le dans le répertoire de votre choix et indiquez à l’installeur où il se trouve.

L’installeur vous demandera aussi quels thèmes installer. Ensuite l’installation se termine sans problème. Votre lecteur est prêt à être utilisé avec son nouveau firmware open source. C’est ce firmware qui sera chargé au démarrage par défaut. Si vous voulez redémarrer sur le firmware d’origine, appuyez sur le bouton de gauche |<< tout en allumant le lecteur.

Toute l’opération s’est déroulée tellement facilement que je vous invite, si votre lecteur se trouve dans la liste des lecteurs compatibles, à installer ce firmware open source et à libérer ainsi votre lecteur.

Ubuntu 11.04 beta2

J’avais été fort critique lors de la sortie de la beta1; je me dois donc de signaler si les choses ont évolué avec la sortie en début de semaine de la beta2. Cette beta2 devrait être la dernière avant le Release Candidate puis la sortie de la version définitive fin du mois.

Premier évolution remarquable avec cette beta2, Compiz fonctionne maintenant parfaitement sur mon portable. Celui-ci ne se crashe plus comme précédemment. Unity est donc devenu utilisable et tout semble fonctionner sans problème.

Seul gros point noir restant, le wifi. Avec la beta1 il ne fonctionnait pas du tout, maintenant, il se connecte bien mais perd la connexion toute les deux ou trois minutes. Gênant ! C’est même très gênant quand on voit l’importance qu’a pris le wifi actuellement. Avoir un portable sans wifi, c’est pour le moins embêtant.

Espérons que dans la RC ou la version finale, les derniers petits ou gros problèmes seront résolus. Je n’étais pas très optimiste au départ mais cette beta2 m’a redonné espoir.

Ubuntu 11.04 beta

Il y a quelques jours, la version beta d’Ubuntu 11.04 aka Natty Narwhal est sortie. Je me suis évidemment empressé de l’installer sur mon vieux portable dual core avec carte ATI Radeon Mobility 3650.

J’ai d’abord tenté une mise à jour avec upgrade vers la 11.04. Vous tapez cette commande dans un terminal:

$ update-manager -d

Cette commande fait apparaître un bouton dans le Gestionnaire de mise à jour indiquant qu’une nouvelle version d’Ubuntu est disponible. Cliquez dessus et l’upgrade de votre système commence.
Tout se déroule normalement mais au reboot, pas de dock, pas de panel dans le haut de l’écran et donc pas de menu dans les applications puisque avec la version 11.04, les menus des applications se retrouve dans le tableau de bord du haut à l’instar de Mac OSX. Manifestement, Unity ne fonctionne pas comme prévu. Compiz ne tourne pas non plus.

Après avoir tenté vainement de réparer les dégats, je décide de réinstaller la beta from scratch sur un disque reformaté pour l’occasion.
L’install se passe bien et au démarrage, je trouve bien le bureau Unity avec son dock et tout ce qu’il faut. mais, gros problème avec Compiz. Celui-ci crashe chaque fois qu’une nouvelle fenêtre ou un nouvel élément est affiché sur le bureau. Un message s’affiche d’ailleurs disant que Compiz s’est arrêté brutalement. Inutilisable. De plus, le wifi qui n’a jamais marché très bien sur ce portable ne fonctionne pas du tout.
J’essaie d’installer les drivers propriétaires pour ma carte graphique puisque jusque là, j’utilisais le driver libre. Mais là, l’écran reste désespérément noir.

Conclusion de tout ceci, ne vous jetez pas sur cette beta. Ce n’est encore qu’une beta et cela implique nombre de bugs encore à corriger. Par contre, cela fait quand même craindre le pire parce que j’ai un peu peur que nombre de machines ne puisse jamais faire l’upgrade vers Unity parce que celui-ci ne fonctionnera jamais convenablement pour leur matériel.
A suivre…